Instructions aux auteurs

Lettre d’accompagnement

Les articles doivent être soumis sur le site électronique de soumission de la revue accompagnés d’une lettre au journal indiquant :

  • que tous les auteurs ont donné leur accord pour la soumission pour publication (la qualité d’auteur s’entend comme une contribution effective à la conception de l’étude ou au recueil, à l’analyse ou à l’interprétation des données et à la revue critique du manuscrit) ;
  • que le travail, objet du manuscrit, n’a pas été publié ni soumis ou accepté pour publication en tant qu’article dans une autre revue ;
  • que le travail, objet du manuscrit, ne sera pas soumis pour publication dans une autre revue avant décision définitive d’acceptation ou de refus du manuscrit par le comité de rédaction ;
  • pour les manuscrits rapportant un effet indésirable médicamenteux, la date de notification de l’effet à un centre de pharmacovigilance ;
  • les conflits d’intérêt éventuels (voir paragraphe « Conflit d’intérêt »).

 

1. PRESENTATION DES MANUSCRITS

1.1. LA PAGE DE TITRE
  • Un titre en français et en anglais.
  • Les noms des auteurs (prénom et nom de famille), l’adresse postale complète des services ou des départements concernés avec indication de l’appartenance de chacun des auteurs.
  • Le nom et le numéro de téléphone, de fax et l’adresse e-mail de l’auteur correspondant à qui seront adressés les demandes de modification avant acceptation, les épreuves et les tirés à part.
1.2. LES RÉSUMÉS ET MOTS-CLÉS
Chaque article doit comprendre un résumé de 250 mots au maximum, en français et en anglais, ainsi que des mots-clés (5 à 10) également en français et en anglais. Pour les articles originaux, ces résumés doivent être structurés, comme suit : Introduction, méthodes, résultats, discussion et conclusion.
1.3. LE TEXTE
Les auteurs doivent veiller à ce que les textes soumis soient clairs et facilement compréhensibles, précis et concis. Ils doivent s’assurer que le français est simple et correct.
Les abréviations doivent être expliquées lors de leur première apparition dans le texte et, ensuite, être utilisées de manière cohérente et invariable. Aucune abréviation ne sera utilisée dans le titre ni dans le résumé. Pour ne pas nuire à la clarté, elles doivent être en nombre restreint.
Les unités de mesure abrégées doivent être conformes aux nomenclatures internationales (par exemple, l’abréviation de minute est « min » et non pas « mn »).

1.3.1 LES RUBRIQUES
– Éditorial
Il a pour but d’exprimer une opinion sur un sujet précis et d’actualité́, même controversé. Il ne doit pas dépasser 5 feuillets et 5 références.
– Revue générale :
Elle peut être soit sollicitée par le comité de rédaction, soit soumise spontanément par les auteurs. Elle a pour but de faire le point exhaustif d’un sujet d’intérêt général. La revue générale ne comporte pas plus de 20 feuillets et 100 références.
– Mise au point :
Elle peut être soit sollicitée par le comité de rédaction, soit soumise spontanément par les auteurs. Moins exhaustive que la revue générale, elle est destinée à actualiser les connaissances sur un sujet plus limité. À part quelques références essentielles, la littérature analysée est celle des cinq dernières années. Le texte ne comporte pas plus de 10 feuillets et 10 références.
– Article original :
Il apporte des informations originales obtenues à partir d’une étude de laboratoire ou une étude clinique observationnelle ou interventionnelle. Il comprend 10 à 15 feuillets (hors tableaux et figures) selon le plan IMRAD : Introduction, Méthodes, Résultats et Discussion. Il doit contenir un maximum de 50 références.
1.3.2 LE PLAN IMRAD

a – Introduction
L’introduction doit guider le lecteur, le plus rapidement possible, du contexte général du problème à la question précise à laquelle les auteurs ont répondu. Elle doit comprendre une synthèse de la littérature et extraire l’information utile pour justifier pourquoi les auteurs ont mené cette recherche. A la fin, il faut y formuler clairement les objectifs de l’étude.

b – Méthodes
Cette section a comme rôle de décrire avec précision ce qui a été́ fait pour répondre à la question posée et ne doit contenir aucun résultat. Elle doit convaincre le lecteur que la méthode utilisée était valide et fournir assez de détails pour que l’étude puisse être répliquée. Elle doit contenir le type d’étude, le lieu, la durée, la population cible, l’échantillonnage, les variables étudiées, les méthodes de collecte des données, les méthodes d’analyse des données et les considérations éthiques. Cette section doit être rédigée au passé (imparfait ou passé composé) sauf pour énoncer qu’une technique est standard ou qu’un outil est fiable et valide. Dans ce dernier cas, on utilisera le présent en citant une référence.

c – Résultats
Elle doit contenir tous les résultats pertinents en fonction de l’objectif de l’étude sans commentaires ni comparaisons. Cette section doit être rédigée au passé et commencer par une description, de préférence dans un tableau, de la population étudiée en rapportant le nombre de sujets ayant participé à l’étude et leurs caractéristiques principales (cliniques, biologiques, démographiques…).
La partie suivante doit fournir au lecteur les données permettant de répondre à la question principale. Elle comporte une estimation du paramètre principal (pourcentage, taux, moyenne ou médiane… dans les études descriptives ou Risque relatif, différence de risque ou Odds ratio… dans les études analytiques), une indication de la précision de cette estimation (écart type, intervalle de confiance, …) et éventuellement les résultats d’un test statistique.
La troisième et dernière partie de la section résultats n’est pas systématique. Elle expose les résultats dits secondaires correspondant à des analyses de sous-groupes ou à des analyses d’objectifs secondaires lorsque cela a été́ prévu dans le protocole. Il faut éviter le plus possible les redondances entre le texte, les tableaux et les figures. Aucune référence ne sera citée dans cette rubrique.
Les tableaux doivent être appelés dans le texte et numérotés selon leur ordre d’apparition par des chiffres arabes, avec au-dessus le titre, et en dessous les notes et les abréviations. La présentation des tableaux doit être claire et concise. Les figures doivent aussi être appelées dans le texte et numérotés par des chiffres arabes selon l’ordre d’apparition, avec en dessous, le titre et les explications des symboles ou abréviations afin que les figures soient compréhensibles indépendamment du texte. Elles doivent être dans l’un des formats suivants : PNG, JPEG TIFF ou EPS.
Les tableaux et figures doivent être mis dans un fichier à part.

d – Discussion
Dans cette section, les auteurs doivent proposer une interprétation des résultats et envisager leurs implications. Elle doit comporter les éléments suivants :

  1. Résumé́ des principaux faits : Il doit être bref et présenter, parmi tous les résultats détaillés dans la section précédente, ceux qui méritent d’être retenus du point de vue des auteurs.
  2. Une discussion de la validité́ des résultats : Il s’agit de présenter les limites de l’étude et de persuader le lecteur que les éventuels problèmes méthodologiques rencontrés ne remettent pas en cause les conclusions de l’étude.
  3. Une discussion du caractère généralisable des résultats : indiquer au lecteur à quelle population les résultats peuvent s’appliquer.
  4. Une conclusion sur la réponse à la question posée : Le rôle de cette partie est de dire au lecteur quelle réponse est retenue et de faire le lien avec la mise en perspective.
  5. Une mise en perspective des résultats : consiste à les comparer aux connaissances au moment de la rédaction.
  6. Un énoncé́ des implications des résultats : Les implications peuvent être discutées vis-à-vis de la recherche, de la pratique clinique et de la santé publique.

– Note technique : Elle décrit un appareillage nouveau, une méthode de mesure ou rapporte des incidents techniques. Elle comporte un résumé en français et en anglais et n’excède pas dix feuilles, dix références, trois mots clés et quatre illustrations.
– Communication brève : Elle permet d’attirer l’attention des lecteurs sur un fait précis, de donner un commentaire sur un article déjà̀ publié. Le texte comporte de deux à quatre feuillets, cinq références, trois mots clés, une ou deux illustrations.
Les remerciements ne figurent pas dans le corps même de l’article, mais sont individualisés sur la dernière page, qui comprend également les conflits d’intérêt (cf 4.)

1.4. LES RÉFÉRENCES
Les références figurent sur une (des) page(s) séparée(s) et numérotées à la suite. Elles sont numérotées selon l’ordre d’apparition dans le texte. Elles sont identifiées dans le texte, les tableaux et les légendes par des chiffres arabes entre crochets. Les références citées uniquement dans les légendes, les tableaux ou les figures sont numérotées de telle façon qu’elles succèdent à la dernière référence citée dans le texte avant l’appel du tableau. Les numéros sont séparés par des virgules quand il s’agit de deux chiffres consécutifs ou non, et par un trait d’union quand il s’agit de trois chiffres consécutifs au moins – seuls les chiffres extrêmes sont alors cités : [5,7], [9-11], [5, 7, 9-11, 13]. L’article ne comporte que les références à des textes qui ont été́ citées pour la rédaction du travail. Les références citées doivent être accessibles aux lecteurs. Toutes les références citées dans le texte figurent dans la liste des références et vice versa. Seuls les résumés des communications orales ou affichées publiés depuis moins de cinq ans révolus peuvent être cités ; la mention [résumé] ou [abstract], selon que la référence est en langue française ou anglaise, figure après le titre. Les lettres à la rédaction comportent la mention [lettre] ou [letter] après le titre. Jusqu’à six auteurs, ceux-ci doivent être nommément indiqués ; à partir de sept, seuls les six premiers seront cités, suivis d’une virgule et de la mention « et al. «. Les articles acceptés mais non encore publiés peuvent être références en indiquant la revue, l’année et le volume avec la mention (à paraître) ou (in press). Les références à des communications personnelles, des mémoires, des manuscrits en préparation ou soumis à des revues ne sont acceptées qu’entre parenthèses dans le texte et ne doivent pas figurer dans la liste des références. Les références sont vérifiées par les auteurs avec les documents originaux. Les références sont présentées conformément aux normes de « Vancouver » (International Committee of Medical Journal Editors. Uniform requirements for manuscripts submitted to biomedical journals. Fifth edition. N Engl J Med 1997 ; 336 : 309–16).
Exemples de références :
Article de périodique classique

  1. Gosio B. Action de quelques moisissures sur les composés fixes d’arsenic. Archivio italiano Biologia 1893; 18: 253-265. Article d’un supplément à un volume
  2. Poehlman ET, Toth MJ, Fonong T. Exercice, substrate utilization and energy requirements in the ederly. Int J Obesity 1995;19 Suppl 4: 93–96. Ouvrage d’auteur(s)
  3. Ouvrage collectif, Collection de médecine légale et de toxicologie médicale, Éditions Masson, Paris (1975).
    Ouvrage à auteurs multiples avec coordonnateur(s) En anglais
  4. Brantingham PJ and Brantingham PL. Notes on the geometry of crime. In: Environmental Criminology, edited by Brantingham PJ and Brantingham PL. Beverly Hills: Sage, 1981: 27-54. En français
  5. Beauthier J-P, Mangin P, Traité de médecine sociale. DeBoeck; 2007. Chapitre d’ouvrage
  6. Matthews DE, Battezzati A. Substrate kinetics and catabolic hormones. In: Kinney JM, Tucker HN, eds. Organ metabolism and nutrition. New York: Raven Press; 1994. p. 1-22. Compte rendu de congrès
  7. Gammage RB, Kaye SV. Indoor air and human health. Proceedings of the 7th Life Sciences Symposium, 1984 Oct. 29-31; Knoxville (TN), Chelsea (MI): Lewis; 1985. p. 69–78. Thèse
  8. Bernard MN. Qualité de vie et état nutritionnel des insuffisances respiratoires chroniques graves [thèse]. Grenoble : université́Joseph-Fourier; 1997. p. 1–153.
1.5. LES TABLEAUX
Chaque tableau doit être présenté sur une page séparée, numéroté en chiffres arabes et indexé dans le texte par appel de son numéro entre parenthèses. Il est accompagné d’un titre (placé au-dessus) et, éventuellement, de notes explicatives (au-dessous). Il est saisi, sans traits verticaux, en double interligne sur une page (sans réduction par photocopie). Il est important de penser à la dimension d’une page écran pour une bonne lisibilité du tableau lors de sa mise en ligne.

2. ILLUSTRATIONS
Toutes les figures (graphiques, dessins ou photographies) sont numérotées en chiffres arabes et appelées dans le texte par ordre numérique (numéro entre parenthèses). Chaque figure est fournie sur un fichier distinct et/ou sous forme imprimée sur une feuille distincte.

2.1. SOUMISSION ELECTRENIQUE
Les figures doivent être fournies de préférence en format TIFF (.tif), EPS (.eps), ou PDF (.pdf). Les formats Word, Powerpoint et Excel sont également acceptés. Pour permettre à l’éditeur d’identifier facilement les figures transmises, il est recommandé de nommer les fichiers en indiquant le numéro de la figure et le format utilisé. Par exemple : « fig1.tif », pour le fi chier de la figure 1 sous format TIFF. La résolution minimale des figures doit être de 300 DPI pour les photographies en noir et blanc ou en couleur, et de 500 à 1000 DPI pour les graphiques ou schémas. La haute résolution est absolument nécessaire pour l’impression.
2.2. SOUMISSION PAPIER
Pour les soumissions sur papier, il est nécessaire de fournir des illustrations de bonne résolution, en indiquant au dos des illustrations papier leur numérotation précise et fiable par rapport aux légendes et aux appels dans le texte.
2.3. IllUSTRATIONS EN COULEUR
En cas de soumission d’illustrations en couleur, AJHS les reproduira en couleur sur le web, sans aucun frais à la charge des auteurs. En revanche, dans la version papier, les illustrations seront reproduites en couleur sur le web mais imprimées en noir et blanc dans la revue papier.

3. CONFLIT D’INTERETS
La revue suit les pratiques internationales relatives aux conflits d’intérêts en rapport avec les publications soumises. Toute soumission de manuscrits doit être accompagnée d’une déclaration de conflit d’intérêts.
Un conflit d’intérêts existe quand un auteur et/ou un co-auteur a des relations financières ou personnelles avec d’autres personnes ou organisations qui sont susceptibles d’influencer ses jugements professionnels concernant une valeur essentielle (bien du patient, intégrité́ de la recherche…). Les principaux conflits d’intérêts étant les intérêts financiers, les interventions ponctuelles, les relations familiales…
Tous les auteurs de la publication doivent déclarer toutes les relations qui peuvent être considérées comme ayant un potentiel de conflits d’intérêts uniquement en lien avec le texte publié.
Au cas où, il n’existe aucun conflit d’intérêts en lien avec l’article soumis, la mention suivante doit être ajoutée directement dans le manuscrit : Conflit d’intérêts : aucun.
4. MISE EN PRODUCTION, CORRECTION D’EPREUVES,DEMANDES DE REPRODUCTION
En cas de reproduction partielle ou totale, dans le manuscrit, d’un document ou d’une illustration déjà̀publiés, l’autorisation écrite de l’éditeur et des auteurs doit être impérativement fournie.
Lors de la mise en production du manuscrit accepté pour publication, l’éditeur enverra à l’auteur correspondant un formulaire de transfert de droits par courrier électronique, qui sera dûment complété et signé par l’auteur responsable de l’article pour le compte de tous les auteurs, puis retourné à l’éditeur dans les plus brefs délais.
L’auteur recevra également un bon de commande de tirés à part supplémentaires, un tiré à part électronique étant envoyé́ gracieusement. L’auteur correspondant recevra les épreuves électroniques de son article sous format PDF, ou par courrier postal si nécessaire. Les modifications portant sur le fond ne sont pas acceptées sur les épreuves. Les corrections se limiteront à la typographie. Les auteurs feront le nécessaire pour retourner à l’éditeur les épreuves corrigées, dans les 48 heures suivant leur réception et ce à toute période de l’année. En cas de retard, l’éditeur se réserve le droit de procéder à l’impression sans les corrections de l’auteur. Dès parution, toute demande de reproduction devra être adressée à l’éditeur.
5. CONSENTEMENT ECLAIRE – REGLES DE PUBLICATION, DROIT DE L’HOMME ET DE L’ANIMAL
Comme énoncé́ dans les Règles de soumission d’articles aux journaux biomédicaux, proposés par le Comité International des Rédacteurs de Journaux Médicaux (ICMJE, 2006), le droit des patients à la protection de leur vie privée interdit la publication d’articles sans un consentement éclairé́. Aucune information permettant l’identification des patients, que ce soit dans le texte ou dans les photos ou encore d’une manière indirecte, ne doit être publiée, sauf si l’information en question est essentielle à l’intérêt scientifique de l’étude et avec le consentement éclairé́ du patient, des parents ou du tuteur légal. Un consentement éclairé́spécifique est alors requis après avoir montré l’article sous sa forme définitive avant publication et en conformité avec le droit français relatif à la protection de la vie privée et l’utilisation des données personnelles à des fins de recherche médicale.
En cas de doute, un consentement éclairé sera requis. Si des informations pouvant identifier les patients sont altérés pour protéger leur anonymat, les auteurs doivent fournir l’assurance du maintien de la validité́ scientifique de leur étude.
Les auteurs, rédacteurs et éditeurs se doivent de suivre la règlementation française en matière de protection de la vie privée en relation avec la recherche médicale. En cas d’article rapportant des recherches mettant en cause des sujets humains, les auteurs doivent préciser la conformité́ de leur protocole avec les règles d’éthiques édictées par le Comité d’Ethique responsable et par la déclaration d’Helsinki de l’Association Mondiale des Médecins (AMM) revue en 2000.
En cas d’article rapportant des recherches concernant des expérimentations animales, les auteurs doivent préciser si les règles d’usage en vigueur pour le soin et l’utilisation des animaux de laboratoire ont été également suivies. Les auteurs doivent aussi préciser si leur travail a bénéficié ou non de l’accord du comité d’éthique.
6. MATERIEL MULTIMEDIA ET COMPLEMENTS EN LIGNE
Il est possible de soumettre avec les manuscrits des fichiers multimédias et des compléments en ligne, par exemple des figures ou tableaux supplémentaires, des vidéos, des animations, des fichiers audio, des schémas interactifs, des présentations, etc., qui pourront être accessibles via le site web du journal. Votre article imprimé indiquera au lecteur qu’il pourra trouver du matériel supplémentaire en ligne. Pour en savoir plus sur les formats acceptés et les contraintes techniques, merci de consulter notre site web :
http://www.ajhs.com/locate/authorartwork
Voici quelques exemples de formats acceptés :

  • pour les images : .gif, .tif, .jpg, .svg, .png, etc.,
  • pour les vidéos : .mov, .avi, etc.,
  • pour les tableaux et schémas : .xls, etc.
  • pour les présentations : .ppt, .pps, etc.

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